Les conseils de Monk en 1960
« Quand tu swingues, swingues encore plus ! »
« Ce n’est pas parce que tu es pas batteur que tu ne dois pas garder le tempo »
« Tape du pied, chante toi la mélodie dans ta tête quand tu joues »
« Cesses de jouer ces notes bizarres, c’est de la merde, joue la mélodie ! »
« Fais en sorte que le batteur joue bien, sonne bien ! »
« Choisir est important »
« Il te faut piger, piger, tu piges ! »
« All neet ! »
« Toujours savoir … »
« Ca doit être toujours la nuit, sinon ils n’auraient pas besoin de lumière »
« On va soulever la scène ! »
« Je veux éviter les emmerdeurs »
« Ne joue pas la partie de piano, je m’en charge. Ne m’écoutes pas, c’est moi qui t’accompagne ! »
« L’intérieur d’un morceau (le pont) est ce qui fait sonner l’extérieur »
« Ne joue pas tout, ni tout le temps, laisse tomber certaines choses, suggère la musique »
« Ce que tu ne joues pas peut être plus important que ce que tu joues »
« Une note peut être aussi petite qu’une tête d’épingle ou aussi grosse que le monde, cela dépend de ton imagination »
« Restes en condition ! Parfois un musicien attend un boulot et quand il arrive, il n’est plus en condition, il n’assure pas »
« Fais en sorte qu’ils en demandent encore plus »
« Ne demande pas à un musicien qu’il t’engage mais, soit prêt »
« Ces morceaux ont été écrits afin qu’il y ait matière à jouer, pour intéresser les musiciens, pour qu’ils viennent aux répétitions ! »
« C’est ton tour ! . Si tu ne veux pas jouer, racontes une blague ou danses’ mais de toute façon, c’est ton tour (à un batteur qui ne voulait pas prendre de solo) »